Le lapin Samurai de Stan Sakai fait partie des bandes dessinées depuis plus de 30 ans, plus d’un certain nombre de visiteurs sont en vie. Il est simple de le prendre pour acquis en conséquence, mais chaque fois que je vérifiais un problème, je suis impressionné par la clarté des histoires, la perspicacité des personnages, ainsi que la réalisation de la narration créative.
Les trois derniers numéros, toutes les histoires autonomes, couvrent également une variété d’émotions démontrant le large éventail de ce que Sakai peut faire avec ce cadre historique ainsi que ce qui serait autrement cru comme des personnages maladroits.
Le numéro 158, «Le sort des anciens», est le plus triste des trois, bien qu’il commence de manière traditionnelle. Ichiro ainsi que sa vieille maman voyagent, marchant sur une longue route, quand ils sont tracés par des brigands. Ichiro amène son parent sur le dos, ainsi que les méchants, en entendant qu’ils n’avaient pas d’argent, prennent leur maigre quantité de nourriture jusqu’à ce que Usagi arrive à la rescousse.
Les voyageurs viennent d’un mauvais village agricole, où la condition météorologique incohérente a dévasté les récoltes, alors Ichiro emmène sa mère pour satisfaire son autre moitié au sommet d’une montagne lointaine. Usagi voyage avec eux, aidant à combattre les lézards affamés en cours de route, jusqu’à ce qu’il apprenne la fonction authentique de leur voyage. Il est approximatif et brutal ainsi que le résultat d’options terriblement difficiles limitées par les ressources disponibles.
L’art de Sakai est plat mais détaillé, cartoony aussi expressif, avec des détails complets dans le cadre ainsi que l’atmosphère. Cette histoire est un portrait touchant de la compréhension quand il est temps de faire ses adieux et de démontrer le type d’endurance que seule une dame qui a augmenté un ménage dans des circonstances difficiles possède.
Le numéro 159 se concentre sur «La fille de Hatamoto», une jeune femme dont le père a été tué par des bandits. Usagi la protège également, jusqu’à ce qu’il puisse découvrir ce qui se passe ainsi que pourquoi les gars bizarres essaient de l’emmener. “Hatamoto” signifie des samouraïs de haut rang, ainsi que son père était responsable de l’argent du clan, ce qui a conduit à des préoccupations concernant le vol et à couvrir tout type de crimes. Les riches et les puissants veulent rester de cette façon, peu importe qui se débarrasse dans le processus.
Le chef du restaurant où Usagi emmène la femme – le singe toto – revient dans le problème # 160, «Death by Fugu». La chair de poisson-puinte est toxique si elle n’est pas préparée incroyablement soigneusement, ainsi qu’un dîner officiel sur une assiette de fugu fabriqué par Toto décède.
Le chef accepte d’aider l’inspecteur Ishida à déterminer ce qui s’est passé, aidé par Usagi, afin de protéger son expérience ainsi que les compétences. J’ai aimé la focalisation alimentaire de cette histoire, ainsi que la fin – qui tourne sur une erreur téméraire et tragique d’un sentiment d’intérêt exagéré – m’a laissé réfléchi, tout comme les autres problèmes. Bien que se déroulent dans une période lointaine ainsi que sur un lieu, les thèmes d’Usagi Yojimbo ont une pertinence pour aujourd’hui.
La série est temporairement en pause après cette question. Découvrez plus dans la zone Usagi Equine Dark. (L’éditeur a fourni des copies d’évaluation numérique.)
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