Ce message est déposé sous:
Pays d’accueil Fait saillie,
Entretiens et colonnes
Bob Greenberger
par Robert Greenberger
À la base, la nouvelle saga des dieux de Jack Kirby a toujours été sur les pères et les fils, mais si souvent, le conflit cosmique a éclipsé les personnages eux-mêmes. De tous les écrivains et artistes pour s’attaquer aux personnages après le départ du roi de ses créations, Walter Simonson est le seul à se concentrer réellement sur le joueur le plus essentiel, Orion.
Orion par Walter Simonson Omnibus Edition
Simonson a repris la franchise après que John Byrne ait réalisé une tentative radicale d’utiliser tous les concepts et bernacles de Kirby ajoutés par d’autres au fil des ans. Il a même fait toutes les couvertures de la course de Byrne, donc cela ressemblait à une transition naturelle. Pour Simonson, qui est peut-être le plus fort lors de la prise en charge d’un point focal, il s’agissait d’Orion, Kid of Darkseid. Sa course a duré 25 numéros au début de la décennie et DC le collecte enfin en tant qu’Orion par Walter Simonson Omnibus Edition.
La série reprend là où Byrne est laissé de côté et la question de la vraie paternité d’Orion est suspendue aux premiers problèmes. Tigra affirme que Darkseid n’est pas le papa d’Orion, ce qui met vraiment en colère le dieu coulant. Simonson a déclaré à notre propre Roger Ash et Eric Nolen-Weirthington dans Modern Masters Volume Eight, «Je voulais faire lutter contre le Darkseid / Orion, car une fois cela fait, alors vous ne savez pas ce qui va se passer ensuite. C’est la condition que chaque lecteur de bandes dessinées doit être. Vous ne devez pas savoir ce qui va se passer ensuite. ”
La bataille majoritairement sans paroles a vérifié pour que l’artiste exécute et vérifie controversé avec les fans. En fin de compte, cependant, le gamin a vaincu le papa et Orion a pris le contrôle des apokolips. De là, ses nobles intentions se sont avérées avoir des conséquences terribles et il a vérifié lent à reconnaître le mal que sa paix forcée causait à travers les mondes. Orion s’est aveuglé dans un acte d’auto-flagellation, changeant le ton de la série, donc sa chute (inévitable) est suivie d’une quête de rédemption.
Orion # 12
Même s’il est un nouveau dieu, Orion a également eu des liens à long terme avec la Terre et Simonson a déplacé la focalisation plus tard dans la course. Une fois de retour sur Terre, il s’est impliqué avec Arnicus Wolfram, l’aboutissement des fils que l’écrivain / artiste avait semé bien auparavant. L’homme vile est en train de saisir les propriétés du bidonville suicide de Metropolis et Orion est obligé d’intervenir. Il y a aussi un charmant changement d’histoire de rythme avec une fille sans-abri, Melissa, qui finit par raconter cette séquence. Simonson est même allée dans une narration de la gidout de grille plus standard pour refléter son point de vue.
Dans l’ensemble, Simonson montre de la fidélité à ce qui est venu avant So Takion, une création de Paul Kupperberg élevée à la nouvelle Genèse qui gouverne reste en place et le concepteur utilise également bien les personnages que Kirby a brièvement utilisés dans sa quatrième série mondiale. Et les lecteurs aux yeux pointus trouveront beaucoup d’œufs de Pâques dispersés dans les pages. Le MacGuffin qui a propulsé la série étant donné que ses débuts en 1971 ont été l’équation anti-vie et qu’il reste un aspect crucial ici, avec Simonson révélant une fois pour toutes, où il réside avec une belle touche surprise.
Le monde des dieux est si énorme qu’il y avait beaucoup d’histoires à raconter, donc Simonson a ressuscité la notion de secours «Tales of the New Gods», écrivant les pièces plus courtes pour une variété d’amis et de collègues artistes à exécuter. Dans ce volume, vous verrez également le travail de Dave Gibbons, Art Adams, Jim Lee et Scott Williams, Howard Chaykin, Frank Miller, Klaus Janson, Allen Milgrom, Jon Bogdanove, Eddie Campbell et John Byrne (renvoyant la faveur). Eric Stephenson, Erik Larsen et Al Gordon ont pris une pause d’image pour produire le sixième sauvegarde tandis que Jeph Loeb, Rob Liefeld et Norm Rapmund ont produit l’histoire du numéro 8 et Kevin McCarthy et John Paul Leon ont géré # 15. Simonson est également encré sur plusieurs histoires par Bob Wicek (# 8-9, 19-25) et Terry Austin (# 13-14). Pourtant, il s’agit de Simonson, sa grande vision et ses œuvres d’art sensationnelles, clairement inspirées par les créations de Kirby, mais en faisant la sienne.
Orion # 25
Un grand penseur, il avait un plan quinquennal (y compris une exploration des anciens dieux) a réduit les deux cinquièmes du chemin et il reste déçu de ne pas pouvoir donner vie à ces idées. Le dernier numéro essaie de conclure les choses, en mettant l’accent sur les «frères» Orion et Scott complémentaires (alias Mister Miracle). Ce qui est ici, cependant, est bien plus que suffisant pour une lecture divertissante.
Acheter
Orion par Walter Simonson Omnibus Edition